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question autour de ça

Mercredi 17 février 3 17 /02 /Fév 23:48

rabbit.jpg Ces derniers temps, je vous ai pas mal assommé avec mes états d’âme, il est temps que ce blog reprenne ses droits et son but initial, à savoir le sexe et ce qui peut s’y rapporter.

Il semblerait que malheureusement je sois une consommatrice fort peu originale car j’ai acquis mon premier sex toy le week-end dernier et je dénote ces derniers temps dans les media une vague d’engouement pour ce phénomène qui est répandu pourtant depuis un moment.

Donc rien de très extraordinaire en soi que de faire l’acquisition de cet objet mais je voulais partager cette expérience avec vous, sachant que ce n’est pas vraiment le genre d’achat dont on peut parler avec l’ensemble de son entourage.

Bref, partie avec mes amies, me voilà au sexodrome de Pigalle, bien décidée à m’équiper enfin. J’avoue que je remercie les conseils de la vendeuse qui m’a évitée à mon sens de prendre un « bout de plastique » qui ne m’aurait vraiment pas convenue.

Je me suis donc décidée pour le fameux « rabbit » avec sa petite tige supplémentaire devant, de couleur bleue mais courbé et taillé comme un réel. Je sais qu’aujourd’hui les formes sont multiples et variées mais je ne sais pas, j’avais envie de quelque chose qui ne soit pas non plus à l’opposé de ce que j’ai habituellement dans mon lit.

Comme nous avons bien accrochées avec la vendeuse, au moment de payer elle m'a donné un petit cadeau bonus, un sextoy tout simple et tout fin, à glisser dans son sac, qui vibre en enlevant simplement une petite languette.

Me voilà donc rentrée avec mes deux objets, impatiente de tenter enfin cette fameuse expérience.

Après avoir un peu galéré pour comprendre où insérer les piles dans le rabbit (désolée pour les aspects techniques mais je voulais ce témoignage aussi réel que possible), je me retrouvais prête à faire le grand saut.

Un peu impressionnée quand même par le rabbit, je décidais de commencer avec le petit. Sympa, convivial, mais au vue de la taille aucune sensation en pénétration. Pas forcément désagréable sur le clitoris mais je dois avouer n’être pas forcément très sensible à cet endroit.

J’ai ensuite tenté l’expérience avec le rabbit. Alors si la pénétration est plutôt sympa – même si on ne retrouve pas la « chaleur » d’un sexe réel, pour le reste… j’avoue avoir été assez déçue. En effet, j’ignore si cela provient du fait que je sois vaginale, j’imagine qu’en tout cas nous avons toutes des manières différentes  de jouir mais pour ma part j’avais juste le sentiment d’avoir un truc qui vibrait sans que cela ne me fasse plus décoller que ça.

Quand mes amants me demandent ce que j’aime le plus, ce qui me fait le plus plaisir, je suis obligée de reconnaître que c’est purement et simplement la pénétration. Je suis peut-être à un âge encore jeune et fougueux où l'on ne prend pas le temps d'apprécier et de détailler les préliminaires mais rien ne me fait plus jouir que d'être sur le ventre et de sentir l'autre s'enfoncer au plus profond de moi, avec plus moins de violence.

De ce fait, j'avoue ne pas avoir été transportée par cet sex toy, qui ne répondait pas à mes attentes sexuelles habituelles... Il est possible que je m'attendais à acheter un truc-à-faire-jouir et que j'ai négligé certains aspects. Ou alors n'étais-je pas dans de bonnes conditions ?

Quoi qu'il en soit, je ne m'avoue pas vaincue ! J'ai très envie de retenter à nouveau l'expérience quand je serai peut-être plus encline à une excitation ou peut-être même lorsque j'ai déjà mon amant dans mon lit... les usages sont multiples.

 

Et vous ? Les sex toys ?

 

Par Envers du décor - Publié dans : question autour de ça - Communauté : xFantasmesx
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Vendredi 18 décembre 5 18 /12 /Déc 12:24
enlacer.jpg Dire que je vous ai abandonné serait un euphémisme. Je n'ai rien posté ici depuis plusieurs mois et sachez que je suis désolée de vous avoir laissé de cette manière.
Je pourrais vous dire que je n'avais rien à dire. Et d'une certaine façon c'est peut-être vrai.
Je me souviens avoir lu chez un philosophe dont j'ai oublié le nom que les gens heureux n'ont pas d'histoire. Il est en effet rare de lire un livre, de voir un film ou même de raconter quelque chose de passionnant sur le bonheur. Car finalement le bonheur ça ne se dit pas, ça se vit.

Donc le bonheur. Et l'amour.
Depuis bientôt six mois je suis avec cet homme dont je vous parlais dans mes derniers articles.
Quand je me retrouve à parler de cette relation qui a l'air "sérieuse" comme ont dit, les mots me manquent, que ce soit auprès de mes amis dans la "vraie" vie ou même à vous sur ce blog où pourtant j'ai fait tombé depuis longtemps la barrière de la pudeur ou de la retenue.
Tout va bien. Nous sommes heureux. Je le suis et j'aime à penser qu'il l'est également.

C'est étrange lorsque je relis "Pendant", j'ai le sentiment que les choses n'ont pas vraiment changées. C'est vrai, c'est un homme qui n'a pas besoin d'un contact permanent lorsque nous sommes éloignés. C'est également quelqu'un qui ne me narcississise pas. Moi qui aimerait être adulée, traitée comme une princesse, que mon homme soit ivre de passion pour moi. Inutile de dire que tout ceci est donc vain et étrangement cela ne me surprend pas puisque j'ai toujours souhaité ces choses et je me suis toujours éprise d'hommes qui n'exprimaient pas leur sentiments, qui ne disaient "je t'aime" que sous la contrainte.

Alors je m'arme de patience et parfois je craque et je lui en parle et tant pis si j'ai l'air d'une femelle hystérique. Dis moi que je suis belle, dis moi que je t'excite, dis moi que je t'obscède, dis moi que tu m'aimes. Oui dis-le moi, dis-le moi si c'est vrai, dis-le moi si c'est fort.

Mais la plupart du temps, je me contente de l'observer. Mais qui est-il ? Connait-on jamais les gens que l'on aime ? Je me souviens de l'Autre qui est revenu hanter mes cauchermards cette nuit d'ailleurs. Lui aussi je l'ai observé pendant des années. Et lui je n'ai rien compris. Et c'est quand il est parti qu'enfin j'ai réussi à reconstituer le puzzle.
Alors celui-ci je ne veux pas qu'il parte non, je veux l'apprivoiser et ne pas lui faire peur. Mais parfois les mots sortent malgré moi de ma bouche et ma violence se déchaîne, mes petites questions insidieuses et mes remarques mesquines. Tout cette féminité frustrée et cette haine des hommes que je ressens parfois, je la déverse tel un poison.

J'ai décidé de progresser. Notamment sur la jalousie. Son métier l'oblige à travailler énormément avec des femmes, pas toujours très habillées (c'est un métier légal, je vous rassure) et certaines sont même devenues des amies. Oh oui, les pauvres, des amies toujours perturbées, esseulées, que la vie à maltraiter et qui viennent chercher chez MON homme réconfort et écoute. Comme on ne peut parait-il, pas exiger de l'autre qu'il n'ait plus d'amiEs, j'ai établi un discours qui a fait du bien surtout à moi-même je pense et qui apaise ma souffrance.
Je lui ai dit, écoute-moi, écoute-moi une seule et unique fois. Je ne partage pas. Je ne partage pas mon homme. Je partage ma maison, mon repas, mes cigarettes ou même mes amis s'il le faut mais je ne partage pas mon homme. Pour autant, je te veux libre. Libre de créer, libre de rêver. Je ne veux que jamais notre histoire ne t'emprisonne ou que tu te sentes prisonnier de mon amour. Je te veux aussi libre que moi.
Sois libre, aimons-nous, soyons heureux. Mais comme je ne partage pas, si un jour un seul une seule fois, tu oublies que je ne partage pas et que toi, tu te partages avec d'autres, alors tout ceci sera fini et tout ceci volera en éclats car jamais au grand jamais je ne pourrais pardonner.
Certaines femmes le peuvent, je ne les admire pas plus que je ne les juge. Nous sommes tous différents. Moi je ne partage pas et je ne pardonne pas.

Depuis nos rapports se sont apaisés sur ce point. Ce n'est pas une question de confiance, ni en soi, ni en les autres, ni d'engagement, ni d'exigence envers lui. Qu'est ce que l'amour est en droit d'exiger ? Mais rien du tout, même pas la fidélité, car l'amour ce n'est pas un contrat, ce n'est pas un carcan, c'est une chose que tu partages pour le coup ! Seulement après tu fais en fonction de tes opinions et de tes envies. Peux-tu passer par dessus le fait qu'il te trompe ? Oui ? Soyez heureux ! Tu ne peux pas ? Non ? Dites-vous au revoir pour être chacun heureux.

J'ai résolu ce point, je dois maintenant lui laisser encore et toujours du temps pour espérer qu'un jour peut-être il m'exprime plus ce qu'il est et ce qu'il ressent.
L'amour n'est pas un long fleuve tranquille.
Par Envers du décor - Publié dans : question autour de ça - Communauté : Erotisme
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Dimanche 6 septembre 7 06 /09 /Sep 23:29
Tu te tenais au dessus de moi et je pouvais deviner tes yeux dans le noir. L'expression de ton regard ne mentait pas : envie et désir. Telle une vierge de 16 ans, une seule pensée me traversait l'esprit à ce moment, ça y est, nous y voilà, nous allons faire l'amour. Avoir tant vécu, tant écrit, tant fantasmé et en être réduite à souhaiter de tout son être qu'enfin tu entres en moi... la situation avait quelque chose de comique, vraiment.
Quand tu m'as pénétrée, je me suis souvenue de tout ce que représente cet acte, pourquoi on aime tant cela, pourquoi on écrit, on filme tout ça, pourquoi on ment, on pleure, on tue parfois pour l'avoir encore et encore.
Un peu écourté cette fois-ci, tu as eu l'occasion de m'avoir de nouveau sous ta domination la semaine dernière. Et ce fut enfin une explosion de bonheur, comme ce que j'avais pu connaitre de meilleur, comme ce que j'avais tant désiré et comme tout cela m'avait manqué. Je peux me revendiquer sans tabous, je peux m'avouer libérée, intéressée, excitée, obsédée, je peux écrire des articles érotiques à n'en plus finir sur l'envers du décor, je me suis sentie comme révélée de faire l'amour avec quelqu'un pour qui peut-être j'éprouvais des sentiments. Ce n'était plus seulement du sexe, ce n'était plus du plaisir sans rien derrière, c'était le début d'une histoire et elle commençait bien.
Aujourd'hui je ne sais pas. Aujourd'hui j'ai l'impression d'être de nouveau adolescente.
Il semblerait que la clé de mon coeur se trouvait dans un endroit sombre et humide et que tu ais fini par la trouver. Il a suffit que tu me fasses jouir, encore et encore (et encore!!) pour que mon coeur se débloque, pour que notre histoire me semble sérieuse et importante.
Je n'ai plus eu envie d'aller voir ailleurs, je n'ai plus eu envie de parler à d'autres, non, d'un coup, ce que nous vivions depuis deux mois me semblait valoir le coup, parce que je m'étais assurée que ton corps parlait au mien et que nous pouvions aussi nous entendre sur ce point.
Résultat des courses, tout ce que j'avais gelé, enterré, mis sous cloche depuis des années semble remonter à la surface comme le fond d'un étang boueux. Je te confie mes fantasmes, tu joues de cette domination que je semble désirer et surtout, je me sens à ta merci.
J'ai envie de hurler d'en être revenue là, j'ai déjà envie de te détruire ou de te fuir. Tu me laisses de longs jours sans nouvelles, sous prétexte que tu n'aimes pas tous ces outils modernes et techologiques. Je ronge mon frein en silence, prête à exploser, prête à tout envoyer en l'air alors que les choses commencent à peine entre nous. Je ne comprends pas ton silence, je n'ai pas envie de t'étouffer, ni de te forcer à faire des choses que tu ne veux pas faire.
J'ai tant vécu seule, je me suis tant blindée, je me suis tant jurée que tout ceci ne recommencerait pas et voilà où j'en suis ce soir. J'en pleurerai de rage et de colère si je ne m'étais pas promis il y a longtemps de ne plus jamais pleurer pour un homme.
J'ai envie de me frotter à d'autres peaux pour oublier la tienne, j'ai envie de me venger pour ce que tu as su déclencher, réveiller en moi. Mais je ne suis pas même persuadée de ma propre légitimité à te faire du mal. Car finalement qu'as-tu fait ? Rien, tu n'es pas très présent lorsque nous ne sommes pas ensemble. Et pourtant je te sens impliqué lorsque nous le sommes.
Il faut que je prenne les choses comme elles sont, sans chercher à les changer ni à te changer. Il faut que je t'accepte comme tu es, que je te laisse du temps. Mais si tu ne m'aimais pas ? Et si tu ne m'aimais jamais ? Et si moi je me mettais à t'aimer ? Peut-être que je t'aime déjà ? Et si tu me détruis le coeur, si tu le piétines comme l'ont fait d'autres ? Plus jamais, plus jamais, plus jamais !!!
J'ignore quelle sera l'issue de tout cela mais j'avoue que je n'aurai pas soupçonner que la jouissance pouvait créer un tel chamboulement.
Que dois-je faire ? Me taire et résoudre ce problème avec moi-même ? Ou t'en parler et prendre le risque de passer pour une de ces femelles hystériques et te perdre ?
Par Envers du décor - Publié dans : question autour de ça - Communauté : Erotisme
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Dimanche 14 septembre 7 14 /09 /Sep 11:14
De retour de vacances depuis déjà quelques semaines, je n'ai pas eu le temps d'écrire ici. J'ai bien pensé à vous, enfin à moi, au sexe, aux relations, etc. En réalité je n'ai pas grandes aventures érotiques à vous conter, puisque j'ai fait un peu le vide dans ma vie sexuelle. Pour tout avouer, je n'ai pas vraiment envie de rencontrer quelqu'un, de vivre une histoire. Je traverse une passe où je suis persuadée que l'amour est une connerie, inventée par la pub pour nous vendre du Coca. Bon, j'exagère un peu mais concrètement, je ne me pense plus à deux.
Trop compliqué, trop décevant, trop perturbant, je ne sais pas exactement ce qui me pousse à considérer une probable relation amoureuse comme la onzième plaie d'Egypte mais le résultat est là, je fuis tout homme qui tenterait d'envoyer des signes en direction d'un rapprochement.
Sauf pour le sexe. Je reconnais et j'aprouve le fait d'avoir besoin de sexe, de manière régulière même. Donc je ne cherche que des partenaires d'un soir. Evoluant dans un milieu assez jeune, le problème est désormais ici. Ces pauvres petits vingtenaires ne sont pas encore assez blasés. Ils veulent une histoire, une vraie, avec des sentiments et blablabla... Je vous assure, si le bruit court que tous les hommes ne pensent qu'à ça, il faut leur laisser quelques années pour qu'ils sachent enfin profiter de ce qui est bien.
Il me faudrait rencontrer un homme plus mûr donc. Mon amant quarantenaire m'a dit avoir "trouvé la femme de sa vie" ce que j'interprète comme une indisponibilité de sa part, ainsi qu'au passage une preuve évidente de la naïveté qui l'anime encore, mais passons.
Donc un homme, un vrai, un qui ne me casserait pas les bonbons, qui ne me demanderait pas mon numéro, ni même mon nom tiens. Le souci étant toujours d'éviter les barges, les pervers, les fous tout simplement. On ne peut pas raisonnablement chercher à se faire sauter par le premier mec venu sans espérer de lendemain et ne pas prendre le risque de tomber sur des malades.
Et c'est là que le camp des "relations" reprend du terrain avec l'option "apprendre à connaitre l'autre".
Ouais... ça va me fatiguer d'appprendre à connaitre quelqu'un. Surtout un mec. Je vous dis, je me sentirais presque une âme de lesbienne en ce moment, si je n'aimais pas tant les bites...
Par Envers du décor - Publié dans : question autour de ça - Communauté : Erotisme
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Dimanche 20 juillet 7 20 /07 /Juil 23:26
Tout d'abord merci à ceux qui ont rejoint la lecture de ce blog de manière récente. Je ne m'attendais pas à un tel succès et je vous avoue que vos commentaires et petits mots laissés sur chacun de mes billets me font très plaisir.
Justement, c'est en écoutant la plupart d'entre vous que j'ai décidé de mettre les choses à plat avec mon officiel en lui demandant avec beaucoup de tact pourquoi la complicité que nous avions dans la vie ne se retrouvait pas au lit.
La discussion qui en a suivi m'a laissé entendre que les choses n'étaient vraiment, mais alors vraiment pas gagnées et que définitivement je n'étais pas sur la même longueur sexuelle que ce garçon.
J'ai donc choisi de réfléchir à tout ça, toujours en pesant le sexe face au reste et j'ai pris la décision de rompre avec lui. Je suis donc redevenue célibataire depuis une semaine et quelques...
Si les choses n'ont pas été faciles à annoncer, je me sens beaucoup mieux depuis cette rupture. Plus de mensonges, plus de frustration et plus de questions interminables. Je me sens honnête avec moi-même, honnête envers les autres.
Pour tout vous avouer, j'ai eu envie de faire un peu le ménage dans ma vie, en finir avec cette relation sans avenir, voire même congédier mon cher amant. De ce côté-ci les choses sont un peu moins évidentes. Il n'a pas manifesté clairement le désir de me réinviter depuis la dernière fois, comme si lui aussi avait pris la décision de prendre sa vie en main. Je ne sais pas si je suis plus déçue de n'avoir pas pu le "jeter" de moi-même ou si en fait je suis déçue qu'il se détourne de moi.
J'aime l'idée de contrôler les choses et d'être celle qui décide dans cette histoire de sexe. Mais mon pouvoir sur lui réside dans le désir que je lui inspire. Si je ne lui fais plus d'effets, je n'ai plus d'armes de séduction. Du coup je monte des stratégies pour attirer son attention et puis je me dis que tout ceci n'en vaut pas vraiment la chandelle....
Je ne sais pas vraiment en fait, je vais partir en vacances à la fin du mois et ne le reverrais pas par la suite... une dernière fois serait-elle envisageable ? En ai-je réellement envie ? Ou au contraire, est ce que je ne mets pas mon amour-propre trop en avant et de ce fait, guidée par cette peur d'essuyer un refus, je passe à côté d'une expérience sexuelle qui je le sais se révèlera encore merveilleuse....
Je veux du sexe sans conséquence ! Sans engagement !
Par Envers du décor - Publié dans : question autour de ça
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Dimanche 6 juillet 7 06 /07 /Juil 19:24
Le problème s'épaissit... Je suis vraiment bien avec mon officiel, j'ai passé un super week-end, plein d'affection, de tendresse, d'amour même. Nous avons tout pour être un couple heureux et vivre une belle histoire. Après la superbe journée de samedi, je me suis dit que nous pourrions finir sur une touche érotique, histoire d'être vraiment heureux... Erreur, erreur... Il a joui au bout de 5 minutes, évidemment pour moi c'était mort niveau orgasme. Je me suis dit "ne désespérons pas, je pourrais peut-être avoir droit à une seconde chance". J'ai tenté de réamorçer le truc, il a déclaré au bout de deux minutes qu'il n'y arriverait pas (et moi ?), s'est retiré et s'est endormi.
Comment après ces instants incroyables de la journée, j'ai pu finir mon samedi soir en sanglotant dans mon oreiller ? Comment puis-je gérer cette frustration autrement qu'en m'envoyant en l'air avec un autre ? C'est plutôt injuste de faire ça à ce garçon si adorable, si prévenant. Cela lui briserait le coeur s'il apprenait que je baise ailleurs...
Suis-je trop exigeante ? Je devrais peut-être faire une croix sur mes orgasmes pour sauver mon couple, est-ce si important pour que ça remette en question les sentiments profonds, l'amour et le respect (quoi que du coup le respect devient relatif...) ?
Est-ce que je mérite d'étouffer mes sanglots dans le lit conjugal le samedi soir tellement je suis déçue que cette histoire foire à ce niveau ?
Je suis un peu paumée, je ne sais pas comment les choses vont pouvoir évoluer. Je veux dire que je ne peux même pas décider de le larguer car je tiens vraiment à lui et je me dit que je ne mérite pas tout cet amour si je le trompe dans son dos.
Et ce matin, il me dit au détour d'une conversation que ça lui est déjà arrivé de simuler avec une de ses ex, parce qu'il s'emmerdait et qu'il n'y avait pas de répondant en face. J'avoue que ça m'a scotchée... c'est un peu l'hôpital qui se fout de la charité non ? Et en même temps je pense qu'il n'a pas conscience de nos difficultés sexuelles et je vous assure que le sujet est bien moins facile à aborder que ça en a l'air.
Par Envers du décor - Publié dans : question autour de ça
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Lundi 12 mai 1 12 /05 /Mai 12:14
Je fais des rêves étranges en ce moment. Je rêve que je rencontre d'autres garçons, que je trompe mon actuel. J'ai rêvé de mon premier amour et puis j'ai rêvé de A. Dans mes rêves je ne me préoccupe pas de mon actuel, je n'en ai strictement rien à faire, je suis tellement tellement heureuse d'être avec quelqu'un d'autre. C'est un peu exagéré pour interpréter littéralement non ?
Cette nuit donc j'ai rêvé de A. qui m'avouait qu'il avait été trop timide pour oser faire le premier pas. Je lui disais qu'on avait perdu quatre mois mais qu'on allait rattraper le temps perdu. Lorsqu'il m'embrassait je n'en revenait pas de mon bonheur, de ma chance, j'avais le sentiment de vivre un moment unique de ma vie. Et la réalité ? Si demain entre deux bureaux il venait me parler, m'inviter à se voir en dehors du boulot ? Qu'est ce que je répondrais ? A la dernière réunion je ne pouvais pas détacher mes yeux de lui, il est tellement beau. En même temps c'est tellement superificiel ce type de reflexion... Bien sûr qu'il est beau, sans doute plus que l'actuel mais franchement quel avenir avec lui ? Un passionné de sport et de ses potes, on serait allés loin ensemble, c'est fou !
Désire-t-on toujours ce que l'on n'a pas ? Pourquoi est-ce que je fais encore ces rêves où je semble avoir mis fin à un célibat terrible, alors que je ne suis plus célibataire !!
Certes je rêve de sexe... de jouissance, d'orgasme et cette nuit d'un magnifique sex toys rabbit bleu... Pas besoin d'être Freud pour dire que je suis actuellement frustrée par ma vie sexuelle. La dernière fois que je suis allée dormir chez lui, je n'ai même rien tenté. Vous y croyez ? On dirait que je baisse déjà les bras... Il faut que je détermine si ce garçon est perfectible sur le plan sexuel parce que dans le cas contraire je ne vais pas perdre six mois tout de même ? Mais j'aimerais ne pas laisser traîner les choses tout en ayant le temps d'instaurer une relation de confiance. Etre franche sans le blesser, dire les choses clairement sans détruire le peu de confiance qu'il a en lui...
Je ne peux pas éternellement rêver ma vie !!
Par Envers du décor - Publié dans : question autour de ça - Communauté : xFantasmesx
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Dimanche 4 mai 7 04 /05 /Mai 23:20
J'ai suivi vos conseils et je me suis dit que comme pour le management, si l'employé est mauvais c'est aussi au patron à se remettre en question. Bon après cette entrée en matière un peu merdique, tout ça pour dire que j'ai passé la nuit d'hier chez mon copain et que j'ai tenté de ne pas reproduire l'échec de la dernière fois. Bon, sincèrement.... c'était merdique. Mais genre nul. Genre je pensais que j'étais le genre de fille qui pouvait jouir à partir du moment où on la pénétrait (oui je sais c'est un peu surfait, mais j'ai toujours décollé assez vite...) et là je me demandais un peu ce que je faisais là. Préliminaires toujours très bien, ça il faut le reconnaitre, mais alors l'acte en lui-même... J'ai regardé l'heure donc je peux vous dire que ça a duré 5 minutes montre en main et que je me suis littéralement emmerdée... Comme j'étais partie sur le principe de ne plus simuler, il m'a demandé si j'avais joui, j'ai esquivé la question, il s'est excusé d'avoir fini aussi vite et a décrété qu'il était plus du matin...
Qu'à cela ne tienne, le lendemain matin, j'ai vérifié que tout le monde était bien réveillé et en forme (...) et j'ai pris un peu plus les devants. Vu que le missionnaire c'est pas le top, j'ai proposé de me mettre au dessus, en argumentant qu'il n'y avait pas de raison que ce soit toujours les mêmes qui fassent le boulot. Et là, pas trop mal, disons que j'ai pu arriver à mes fins. Par contre trop rapide pour lui, ce qui fait qu'on a continué en missionnaire et là ... je ne sais pas trop ce qu'il s'est passé en fait. Il a ralenti, s'est même arrêté et après m'avoir câliné m'a demandé s'il pouvait "finir à l'extérieur". J'ai pas vraiment saisi le sens de sa phrase... c'est-à-dire ? J'ai du avoir l'air un peu surprise parce qu'il n'a pas insisté et on s'en est finalement tenu là.
Je suis un peu perdue là. Pourquoi est-ce qu'on a autant de mal à se comprendre au lit alors qu'en dehors notre histoire commence bien ? Qu'est ce que je peux faire pour améliorer les choses tout en ne passant pas pour une chaudasse, sachant qu'il a déjà un peu la pression car il sait que j'ai un peu plus de rodage que lui sur ce plan. Le sexe est-ce si important ? Peut-on larguer quelqu'un pour cause d'incompatibilité sexuelle ?
Je ne sais pas comment redresser le tir...
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Dimanche 9 mars 7 09 /03 /Mars 20:10
talons.jpg On parle essentiellement de dominatrice non ? De belles femmes habillées de cuir, sachant punir leur soumis avec doigté. Mais les hommes ? Nous domine-t-il tout le temps qu'on ne leur attribue pas de terme précis ?
Cette nuit encore j'ai fait un rêve.
Je ne sais pas si l'on peut parler de domination, mais j'étais devenue la "chose" d'un homme. J'étais devenue une petite pute, sa salope. il m'apprenait à être séduisante, sensuelle, à rendre fous de désirs d'autres hommes. Il m'aimait, j'étais sa muse, mais me donnait à d'autres hommes.
Il y a un côté "mac" dans ce type de fantasmes non ?

Je crois que je cherche dans ma vie sexuelle et sentimentale un homme qui me dominerait. Mais pour celà il faudrait que je le respecte, voire que je l'admire. La plupart du temps je considère deux types de mecs : les sensibles, ceux qui me plaisent, parce qu'ils ont un côté fragile, un côté féminin, que je laisse mon côté maternel s'exprimer. Du coup la domination c'est souvent moi qui l'exerce.. Et puis les autres mecs, pour moi ce sont des branleurs, des mecs qui pensent avoir tout compris, je-me-la-pete.com. Ceux-là ne m'intéresse pas.
J'aimerais trouver un dominateur, mais qui aurait de quoi se faire respecter. Quelqu'un qui aurait de l'expérience, qui aurait à coeur de me "former", de me transmettre ce qu'il sait en terme de sexe. Car j'ai fait comme la plupart des gens, j'ai appris sur le tas, avec des partenaires autant ou moins expérimentés que moi !
Le couple et le sexe, est-ce toujours une histoire de dominants/dominés ?
Par Envers du décor - Publié dans : question autour de ça - Communauté : xFantasmesx
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Dimanche 24 février 7 24 /02 /Fév 18:34
undefined Cette nuit, j'ai rêvé qu'on m'offrait un sextoy, un vibromasseur en forme de stylo, dont le bout était arrondi et doux comme un gland. Sur pression, il vibrait et effectuait un mouvement de va-et-vient. Dans ce rêve je m'empressais de l'essayer, me disant que enfin, je possédais un sextoy. Je n'avais jamais vraiment pensé à la question dans la réalité. Est-ce qu'en fait je souhaite avoir ce genre de gadget ? C'est vrai que je lis beaucoup de choses là dessus, que ça a l'air attrayant, après je n'ai jamais osé (ou voulu je ne sais pas) franchir le pas.
Peut-être que si j'achetais un bout de plastique pour me faire jouir, je considérerais avoir toucher le fin fond de la misère sexuelle... Comme si j'accepterais plus facilement de faire l'acquisition d'un joli vibromasseur rabbit (vous savez, ceux avec une petite tige devant pour stimuler également le clitoris) le jour où je saurais qu'une vraie verge de chair et de sang m'attend à la maison le soir !
Je ne suis pas vraiment clitoricienne, mais plutôt vaginale. En clair, les doigts ou la langue de mon partenaire sont agréables mais rien ne me fait plus prendre mon pied qu'une bonne (et grosse de préférence) pénétration. C'est pour ça que me faire jouir seule ces derniers (longs) mois n'est pas toujours évident. J'apprécie une stimultation du clitoris, mais je ne me touche pas à proprement parler lorsque que j'ai un orgasme seule. Je dois contracter mes muscles, effectuer un mouvement de va-et-vient sur quelque chose, un coussin par exemple.
C'est pourquoi je ne sais pas quel vibromasseur ou sextoy serait adapté à mon cas. Je devrais me pencher sur la question, réaliser une petite étude de marché quoi...
Qu'en pensez-vous ? Est-ce une preuve de misère ou d'ouverture sexuelle que d'envisager l'achat de ce genre de choses ?
Par Envers du décor - Publié dans : question autour de ça - Communauté : Erotisme
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